Longue vie à l'Esprit de Mumbai!

Pydhonie, Mumbai, 16 Avril 2019.

C'est dans le milieu des marchés de gros de la pour tout. C'est dans ce domaine que Dhirubhai Ambani a commencé comme un fils de commerçant. Des Millions de transactions se produisent tous les jours. Soutenu par des millions de personnes. Du 22 millions de personnes qui Mumbai dispose de, il se sent comme au moins 21.999 sont tous dans Pydhonie / Bhuleshwar à la fois. C'est juste une blague – seulement il se sent de cette façon. En réalité, il est probablement juste de 21 millions de dollars.

C'est Pydhonie sur un typiques en semaine de 10 h à 6 h:

Hier, j'ai été l'une des voitures pour essayer d'obtenir un concessionnaire devenu ami.

Comme nous avons déménagé à un rythme de 1 mètre par seconde, les piétons zippée devant moi, tissage à travers le trafic de chiens, de stationnement des véhicules, les véhicules en mouvement de la rue, des vendeurs, chargé des charrettes à bras et autres piétons qui traversent les uns les autres au hasard dans des directions différentes de tous de la difficulté à faire un chemin vers leur destination à temps. Personne n'y prêta attention aux bruits assourdissants et de l'oppression du midi, la chaleur du mois d'avril.

J'ai regardé dans la crainte, comme d'habitude. Il n'y avait pas pensé dans ma tête je me suis assis dans mon air conditionné taxi sentiment de gauche depuis que je n'ai pas l'ingrédient clé qui imprègne l'ensemble de l'espace: but.

Tout le monde, il y avait un but et une urgence dans leur vie et j'enviais tous comme je me suis assis dans le confort de la voiture climatisée. J'ai utilisé ce but once upon a time in Mumbai à partir du moment que j'ai 15 ans – quand j'étais fier d'être un membre de la classe ouvrière dans les étés – lorsque le frisson de la capture de la minute suivante avant de disparaître rempli toute ma journée et m'a donné un sommet inégalé.

Que haute, malheureusement, ne pouvait pas survivre dans la dernière partie de la vie qui a apporté avec elle de sécurité financière.

Mais ce n'est pas de moi. C'est à propos des gens à l'extérieur de la voiture que j'ai regardé.

***

Mes yeux ont vu – mais mon esprit était trop lent à réagir assez vite. Pour enregistrer ce que j'ai vu, pour être impressionné par elle, pour formuler la pensée ‘je dois cliquer sur cette "puis" je dois parler à son " ou " je dois faire quelque chose pour l'aider’.......prend au moins 5 secondes.

Le rythme de Mumbai est mesuré en millisecondes et dans les 5000 millisecondes nécessaires pour mon cerveau de se réveiller, elle avait disparu. Le tissage dans et hors de tous les chaos de Pydhonie comme un expert, elle a disparu avant que mon stupide cerveau s'est réveillé. Disparu.

Pas de photo. Tous les mots restent non-dit.

Donc, ici, est mal fait esquisse de garder son esprit avec moi pour toujours.

Elle avait un gros encombrants commercial de la charge sur sa tête. Et son petit de 3 ou 4 ans l'a suivie. Elle a été mariée de les porter à sa mangalsutra et des bracelets. Son sari était propre et soigné, et pas un chiffon. Le garçon était bien habillés. Et tous les deux avaient des pantoufles sur leurs pieds. Ils n'étaient pas des mendiants – c'est à un autre niveau tout à fait. Elle a travaillé pour son gagne-pain. Au cœur du district de gros de Bombay, un homme avec une charge sur sa tête est un spectacle commun. Mais c'était ma première observation d'une femme qui fait cela.

Ils étaient des immigrants de l'est de Mumbai? Où était le mari qui était-il malade? Était-il en vie? Était-il avec elle? Où étiez-il aînés? Peut-être la manipulation de son plus jeune enfant? Ou peut-être de retour dans le village? Pourquoi l'enfant à la suite de son sur ce travail au lieu de rester à la maison? Avaient-ils une maison (ou comme Santra un autre vendeur dans la rue)- ont-ils tout simplement payer son loyer à garder leurs effets personnels dans une salle commune pour le Rs.50 un jour, pendant qu'ils dormaient gratuit de location sur les plates-formes de chemin de fer)? Pourquoi faisait-elle cela? Et avec enfant? Quelles ont été ses compulsions?

L'enfant a tenu sa pallu et instinctivement suivi d'elle comme elle était convaincue de sa capacité à suivre et donc sans se sentir le fardeau de sa présence juste fait son chemin à l'avance n'a pas peur pour lui. Il s'est arrêté de façon ludique swing autour de chacun des 3 barres de métal. Puis s'est arrêté une fois de plus à utiliser ses mains pour jouer de la batterie sur une porte métallique d'un magasin de rue pourtant constamment gardé un oeil sur elle pour courir et rattraper le retard. Elle n'arrête pas de lui. Et elle n'avait pas regarder en arrière pour vérifier sur lui. Elle n'avait pas l'agitation autour de lui. Elle savait qu'il était là. Et il était heureux de s'amuser avec tous les jouets de portes en métal et en métal des obstacles que la ville avait mis à sa disposition. Ils ont eu le comportement de gens qui sont heureux de faire ce qu'ils faisaient. Heureux qu'ils en avaient l'occasion. Heureux d'être là où ils étaient.

***

Hommage à cette femme qui je ne les verrez plus jamais.

Salut à Mumbai pour lui donner l'occasion.

Salut à la communauté Indienne de l'esprit qui a gardé l'enfant un heureux garçon espiègle.

***

“Ae Watan Watan Simple Abaad Rahe Tu

Tu hi meri manzil hai pehchaan Tujhi se

Pahunchoon principal jahaan bhi meri buniyaad. rahey tu

Qurbaan meri jaan tujhpe – shaad rahe tu”

Le récent film de Bollywood Raazi

Se traduit par “vive ma chère terre ... vous êtes mon identité... et peu importe où je peut atteindre – vous restent le fondement sur lequel je me suis construit ... ”

Longue vie à l'Esprit de Mumbai! Longue vie à l'esprit de l'Inde!

jm

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